Histoire d’une dérive médiatique décortiquée en 7 minutes par Stéphanie Chevrel lors de sa Speed Vision au Festival de la Communication Santé 2017. Une information vraie, mal interprétée, va être traitée de façon dénaturée dans les médias.
La plupart des producteurs de contenu santé ont réalisé leur transformation digitale.
Les fake news se propagent sur le Web à des vitesses sans commune mesure avec ce à quoi nous étions habitués. Pour les contrer, il faut donc non seulement développer un esprit critique individuel mais aussi une forme d’esprit critique collectif.
Créer un périmètre en définissant les fake news de façon très large permettra de montrer que différents types d’actions peuvent être menés face à la diversité des définitions et des acteurs.
Le public est régulièrement confronté à une cacophonie sur l’information santé. Le manque de mise en perspective de cette information, diffusée sans lien d’une information à une autre, pose également le problème de sa hiérarchisation.
Le terme de fake news englobe différentes réalités : d’abord leur industrialisation ; ensuite, leur utilisation à des fins de propagande politique et enfin, leur circulation sur les réseaux sociaux.
La difficulté que nous rencontrons est de réussir à être dans le bon tempo dans la mesure où l'information circule à une vitesse folle.
Etre curieux, maîtriser ses émotions, rechercher la véracité, recouper les infos, ne travailler que dans l’intérêt du public.