"Les médias participent à améliorer notre niveau d’éducation sanitaire. Lorsqu’on est bien informé, on peut être plus inquiet dans certaines situations. Avec internet, il y a deux hypothèses : soit les personnes améliorent leurs connaissances sur la maladie ; soit elles sont envahies par une pathologie hypocondriaque préexistante qui va alimenter leur pathologie. Il faut leur conseiller de se faire accompagner d’un soignant" , indique Jean-Pierre Olié.
Retrouvez l'étude Ifop/Capital Image 2014 sur capitalimage.net.
Itw réalisée en 2015.