« Les parties prenantes et les associations environnementales sont très militantes sur la surveillance des cancers et sur les éventuelles expositions. Il est cependant nécessaire d’engager un dialogue car les méthodologies employées par les différents acteurs sont basées sur des probabilités. Nous devons aller au-devant des associations pour mieux se comprendre et essayer de mettre à plat les facteurs de risque des principaux cancers », explique Isabelle Gremy, directrice des maladies non transmissibles, Santé Publique France, lors des 9èmes Rencontres de la Cancérologie Française (RCFr) 2016.
RCFr, en savoir plus www.rcfr.eu
http://www.santepubliquefrance.fr/