Les fausses informations les plus partagées sur les réseaux sociaux sont celles qui touchent au domaine de la santé.
L’hypothèse formulée pour expliquer ce phénomène est la suivante : le coût social de leur partage est moins important que dans le domaine politique. Il est socialement mieux accepté de partager des fausses informations qui exprimeraient une forme de défiance vis a vis des institutions de santé que des fausses informations politiques.
Itw réalisée lors de la Conférence des Présidents d’Université « L’université comme rempart aux fake news », organisée avec The Conversation à la Sorbonne Nouvelle, 15 février 2018