"Il faut se méfier d’une information non triée qui peut être parfois délétère pour les patients. Trop d’informations tuent l’information. Parfois, nos patients arrivent avec quantité d’idées reçues sur la maladie et les traitements alors que leur source d’information n’est pas bonne. Notre rôle est aussi de les orienter vers des sources d’information fiables et de reprendre avec eux ce qu’ils ont pu voir ou entendre", Pr. J. de Sèze, neurologue, CHU Strasbourg.
Interview réalisée à l'occasion de la Journée mondiale de la sclérose en plaques (SEP), le mercredi 25 mai 2016.
Santé publique