Grâce à l’innovation, les malades sont en capacité de revendiquer une place active dans la société et la presse ne met pas assez le projecteur sur cette spectaculaire évolution du système.
On ne peut pas résoudre un désert médical à l'aide d'applications numériques s'il n'y a pas les moyens de communication nécessaire.
Un certain nombre de chaines de télévision publiques ou privées présentent de manière totalement indépendante et objective les problèmes de santé et sensibilisent le grand public à la nécessité de considérer sa santé comme un capital à préserver.
Il n'y a pas un cancer du sein, mais des cancers du sein qui sont très différents dans leur prise en charge. On passe ainsi souvent à côté de la bonne information utile au bon moment.
Il faut se méfier d’une information non triée qui peut être parfois délétère pour les patients. Trop d’informations tuent l’information. Notre rôle est aussi d’orienter les patients vers des sources d’information fiables.
Le numérique doit faire partie intégrante de la pratique professionnelle ; les médecins doivent s’y impliquer extrêmement activement sinon ils seront débordés par ces technologies émergentes.
